Sommaire du journal N°56 - Avril/Mai 2004
Chers lecteurs,
En démocratie, on n'avance que par le dialogue et la concertation. La démocratie locale, où les électeurs sont les plus proches de leurs élus, en est un exemple. Quand la municipalité de Chamonix veut passer en force, l'automne dernier, en "réservant", dans le plan d'urbanisme, un emplacement pour la piste de ski de fond d'Argentière, les propriétaires s'émeuvent et barrent la piste. Aujourd'hui, une convention lie la commune aux propriétaires et deux réunions de concertation auront lieu chaque année. Tout le monde et satisfait. Mais on aurait pu commencer par là...
De la même façon, quand Les Houches présentent leur projet de restructuration du centre, il soulève un tollé tel que les élus – dont personne ne conteste l'honnêteté ni le savoir-faire – l'abandonnent et reprennent une concertation élargie.
Les élus megevans sont, peut-être, eux, allés trop vite en besogne en décidant l'année dernière le déplacement du chemin du Calvaire. De très nombreuses protestations ont conduit le commissaire-enquêteur à émettre un avis défavorable. Le conseil municipal devait se réunir ces jours-ci.
Forts de ces exemples, on peut penser que les élus contaminards vont prendre leur temps, même si le commissaire-enquêteur a rendu un avis favorable à la requalification du centre du village. Car des désaccords s'expriment. Une réunion publique est prévue cet été. Souhaitons qu'elle aplanisse
les différends.
En démocratie, on n'avance que par le dialogue et la concertation. La démocratie locale, où les électeurs sont les plus proches de leurs élus, en est un exemple. Quand la municipalité de Chamonix veut passer en force, l'automne dernier, en "réservant", dans le plan d'urbanisme, un emplacement pour la piste de ski de fond d'Argentière, les propriétaires s'émeuvent et barrent la piste. Aujourd'hui, une convention lie la commune aux propriétaires et deux réunions de concertation auront lieu chaque année. Tout le monde et satisfait. Mais on aurait pu commencer par là...
De la même façon, quand Les Houches présentent leur projet de restructuration du centre, il soulève un tollé tel que les élus – dont personne ne conteste l'honnêteté ni le savoir-faire – l'abandonnent et reprennent une concertation élargie.
Les élus megevans sont, peut-être, eux, allés trop vite en besogne en décidant l'année dernière le déplacement du chemin du Calvaire. De très nombreuses protestations ont conduit le commissaire-enquêteur à émettre un avis défavorable. Le conseil municipal devait se réunir ces jours-ci.
Forts de ces exemples, on peut penser que les élus contaminards vont prendre leur temps, même si le commissaire-enquêteur a rendu un avis favorable à la requalification du centre du village. Car des désaccords s'expriment. Une réunion publique est prévue cet été. Souhaitons qu'elle aplanisse
les différends.
Pays du mont Blanc
- L’ARSMB met le cap sur l’environnement
- Les priorités du développement durable/Brèves
- Meilleur ouvrier de France
Haute-Savoie
Chamonix
- Une convention de «fond» à Argentière
- Dans la continuité des projets
- La Gazette des Bossons
- Les Trophées RPO Marco Siffredi
- Le projet du centre est stoppé
Les Houches
Saint-Gervais
Les Contamines-Montjoie
Megève
- Chemin du Calvaire : à préserver
- Ferme de Joseph : arrêt des travaux (suite)
- Le mobilier Le Même reste en France
Combloux
Sallanches
Passy
Praz-sur-Arly
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Commentaires
Courrier des lecteurs
Suite à notre article sur la destitution du Père Vesin à Megève, M. René Stevens de Marignane (propriétaire Saint-Gervais) nous a adressé la remarque suivante.