Sommaire du journal N°48 - Décembre/Janvier 2002
Chers lecteurs,
Comment concilier le développement économique en montagne et la protection de la nature ? Tel est le casse-tête qu'un groupe de travail au Sénat s'est attelé à résoudre. Un autre groupe planche, à l'Assemblée nationale, sur la même problématique concernant la loi littoral. Si les deux lois ont eu, en effet, l'immense mérite de stopper net la frénésie des constructions n'importe où, n'importe comment, elles ont eu aussi, comme toute loi, des effets négatifs, notamment sur le développement économique. Il ne faudrait pas, pour autant, que ce développement prime, par un effet de balancier redoutable, sur la nécessaire protection des paysages naturels. D'où un équilibre difficile à trouver dans l'aménagement de la loi.
On voit bien, en effet, les limites du développement touristique tous azimuts des stations de montagne sur un bien essentiel et commun : l'eau. Il ne s'agit pas seulement de la consommation en eau potable des touristes mais surtout de celle nécessaire aux canons à neige dont tout le monde s'équipe à qui mieux mieux. On n'a pas encore mesuré – mais on commence à s'en inquiéter comme on le lira dans ce journal – de l'impact considérable que cette surconsommation a et aura sur les ressources en eau de la montagne.Un mot pour s'étonner car on n'en revient pas : Michel Charlet, le maire de Chamonix, pourrait être mis en examen dans le drame du tunnel, en tant que responsable des pompiers municipaux ! On attendra un peu pour en savoir plus...
Comment concilier le développement économique en montagne et la protection de la nature ? Tel est le casse-tête qu'un groupe de travail au Sénat s'est attelé à résoudre. Un autre groupe planche, à l'Assemblée nationale, sur la même problématique concernant la loi littoral. Si les deux lois ont eu, en effet, l'immense mérite de stopper net la frénésie des constructions n'importe où, n'importe comment, elles ont eu aussi, comme toute loi, des effets négatifs, notamment sur le développement économique. Il ne faudrait pas, pour autant, que ce développement prime, par un effet de balancier redoutable, sur la nécessaire protection des paysages naturels. D'où un équilibre difficile à trouver dans l'aménagement de la loi.
On voit bien, en effet, les limites du développement touristique tous azimuts des stations de montagne sur un bien essentiel et commun : l'eau. Il ne s'agit pas seulement de la consommation en eau potable des touristes mais surtout de celle nécessaire aux canons à neige dont tout le monde s'équipe à qui mieux mieux. On n'a pas encore mesuré – mais on commence à s'en inquiéter comme on le lira dans ce journal – de l'impact considérable que cette surconsommation a et aura sur les ressources en eau de la montagne.Un mot pour s'étonner car on n'en revient pas : Michel Charlet, le maire de Chamonix, pourrait être mis en examen dans le drame du tunnel, en tant que responsable des pompiers municipaux ! On attendra un peu pour en savoir plus...
Pays du mont Blanc
-
Tunnel du mont-blanc : Michel Charlet pourrait être mis en examen
-
Des canons coûteux et gourmands en eau
Haute-Savoie
-
La loi montagne pourrait être modifiée
-
Feu vert pour le nouvel hôpital de région annécienne
-
Remontées mécaniques : Reprise des investissements
-
Moins d'accidents de randonnée cet été
Chamonix
-
La Maison des projets a été inaugurée
-
Fièvre Q : l'enquête en cours
-
Signac au musée alpin
-
Nouveau télésiège au Brévent et canons à neige au Tour
-
DZ : le permis est légal/Brèves
Les Houches
Saint-Gervais
-
Le service des navettes réorganisé/Brève
-
Brasserie centrale : le tribunal administratif suspend le permis de construire
-
Le nouveau refuge de Tête Rousse
Les Contamines-Montjoie
Megève
-
Le Partenaire ouvrira ses portes à Noël
-
Brèves
-
La Princesse : le plus gros investissement réalisé en France
-
Adieu au médecin des neiges
Combloux
Sallanches
Passy
Livres
Accédez aux autres sommaires
Dernière minute
N°150 - Décembre/Janvier 2019
Commentaires
Courrier des lecteurs
A la suite de l’accident de ski (collision) dont a été victime son épouse, Jean-Louis Mazert, lance un appel à témoignages à travers nos colonnes.